AVIS DE RECHERCHE

Mes prières du soir, la lune n’entend plus,

Ma plume au bout des doigts, lettres ne trace plus,

Mon encrier est vide, pénurie de pensées,

Ou grève imprévisible, d’une plume fâchée.

Le poète est soumis, à sa muse rebelle,

Décidant quelquefois, de « se faire la belle »,

La polissonne a pris, la poudre d’escampette,

Je suis dans la pénombre, seule dans la tempête.

Tempête de l’esprit, car les idées s’envolent,

A cause d’une plume, se voulant trop frivole,

J’aurais pu c’est certain, me munir d’un crayon,

Mais j’aime trop les rimes, pour leur faire un affront.

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                                                          Cathy, le 23 Février 2011 ©

LE FLUX DE MES PENSEES

Lumière sur ma page, est à la nuit tombante,

Souvent artificielle, mais rimes déferlantes,

Trouvent dans mon esprit, toujours leur origine,

Quand monde plus parfait, simplement  j’imagine.

Ces guerres incessantes, toutes ces tragédies,

Misère générée, par cette économie,

Alimentent souvent, longues conversations,

Apre réalité, empêche diversion.

Si l’Homme avait laissé, la nature tranquille,

Elle ne serait pas, munie de ces béquilles,

Faux soutiens destinés, à toujours gagner plus,

Mauvais raisonnements, en termes de bonus.

Des idées en cascade, pour une vie meilleure,

Je pose sur mes pages et comme les tailleurs,

Un monde à ma façon, je refais sur mesure,

En modelant mes vers, coupés par la césure.

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                                                                            Cathy, le 21 Février 2011 ©

L’ANGE DE L’AMOUR

J’ai posé sur ma feuille, mes maux et mes souffrances,

Mes rimes suscitant,  réelle délivrance,

L’avenir incertain, mes doutes et mes pleurs,

Ont muté tout à coup, vers plus belles couleurs.

Celle qui m’enfanta, m’a trop vite quittée,

Mais je sais qu’elle flotte, auprès de mes pensées,

Prouvant qu’elle protège, toute mon existence,

M’insufflant elle aussi, grande persévérance.

Sa présence pourtant, ne se limite pas,

A m’aider à trouver, le souffle pour mon pas,

Elle place toujours, des gens sur mon chemin,

Cet ange qu’est ma mère, doit leur tendre la main.

Sur mon bureau se trouve, étrange téléphone,

Persistant à rester, journellement aphone,

Pourquoi a-t’il sonné, aujourd’hui si souvent,

M’apportant de sa voix, d’inattendus présents.

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                                                                         Cathy, le 19 Février 2011 ©

IL SUFFIT D’UN REGARD

Tu actives mon cœur, quand il pleure en silence,

Tu transformes ma peine, créant joies en puissance,

Dès que tes grands yeux bleus, éclairent ton visage,

Le monde tout à coup, devient livre d’images.

Des images si belles, que je peux les décrire,

Sans craindre que mes vers, reviennent s’affaiblir,

Sous cette plume noire, qui m’envahit souvent,

Quand je ne te vois plus, toi qui me manques tant.

Tu es beau et tu ris, comme rient tous les anges,

Et ton âme si pure, provoque mes louanges,

Mes instants avec toi, sont toujours merveilleux,

Ma plume prolifique, les prolonge en ces lieux.

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                                                                 Cathy, le 18 Février 2011 ©

Pour vous qui me demandez des nouvelles de Noah,

le voici, à quatre mois, photographié ce vendredi

pendant que je lui donnais une petite compote.

Ah ! Que c'est bon !

J'ai eu une grosse baisse de moral vendredi, vous l'avez compris,

je suis donc partie voir mon petit-fils.

Ceci me donne aussi l'occasion de déposer ici un poème plus "positif".

Je viendrai aujourd'hui vous lire et répondrai à vos très gentils commentaires.

Cette période est pour moi, chaque année, très difficile à passer.

Nous approchons le mois durant lequel ma maman est décédée en 1964

et je le ressens toujours, c'est incontrôlable.

Merci à vous toutes et tous d'être là et de me témoigner votre soutien.

Recevez mes très sincères amitiés.

Cathy. 

Pour ce qui est de ma publication, tout est lancé, ce fut là aussi une tension supplémentaire.

MYSTERE DE L'AN CHINOIS

La poste en ce moment,

De beaux timbres propose,

Cela vaut-il vraiment,

Que j’en fasse une prose,

Mais l’An Chinois quand même,

Etant là concerné,

Je le choisis en thème,

Tout ceci m’a troublée.

Sur les timbres paraît,

Pour cette année du chat,

Un lapin égaré,

Mais que fait-il donc là,

J’apprends que deux versions,

Pour l’an nouveau Chinois,

Sèment la confusion

Créant aussi l’émoi.

Pourquoi deux animaux,

Au centre de l’affaire,

Je n’ai pas d’autre mot,

Quel est donc ce mystère,

Quelqu’un peut m’éclairer,

Sur cette ombre chinoise,

Que je puisse apposer,

Réponse sur l’ardoise ?

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                                                              Cathy, le 17 Février 2011 ©

Un écrit un peu inhabituel, inspiré par l'achat ce jour de timbres évoquant le lapin pour le nouvel an Chinois...

Vous l'aurez compris, je m'interroge...